LE SIGNE - PERPIGNAN

Les Pèlerins d'Arès

Les Pèlerins d’Arès, qu’ils soient de Perpignan ou d’ailleurs, sont des hommes et des femmes engagés dans une démarche spirituelle. Ils reconnaissent les événements et le Message métaphysiques relatés par Michel Potay dans Le Signe ou La Révélation d’Arès.

Un appel à la libération spirituelle

Les Pèlerins d’Arès considèrent que le Message du Signe est un appel de la Vie (ou Dieu) à l’éveil des consciences, incitant hommes et femmes à devenir des êtres de bonté. Cette transformation est avant tout une décision personnelle, un choix conscient d’effort pour dépasser l’individualisme, la peur, les préjugés. Cette décision, par la pratique volontaire et régulière (appelée par ce Message « pénitence »), devient peu à peu une seconde nature.
Ainsi, ces croyants libres sont convaincus que « faire » et « être » sont plus forts que « croire » et « suivre ». Leur démarche n’est ni une doctrine ni une morale imposée, mais une pratique fondée sur l’amour spirituel ou « amour devoir », un état intérieur et une attitude qui :

Un engagement sans structure rigide

Les Pèlerins d’Arès pratiquent leur foi sans hiérarchie, sans dogme, sans culte fixe. Leur engagement repose sur le partage et l’action :
Ils organisent des rencontres appelées « moisson » pour faire découvrir Le Signe et échanger sur des thèmes comme le pardon, la liberté ou la prière.
Ils mettent en place des actions collectives et individuelles visant à aider chacun à se transformer et à améliorer ainsi notre humanité.

Une alternative sociétale aux lois et aux dogmes

Depuis les origines de l’histoire, sur toute la terre, les religions et les politiques se sont succédées, sans instaurer une société juste, paisible, fraternelle. Pour les Pèlerins d’Arès, la véritable et la seule solution ne réside ni dans les lois, ni dans les dogmes, ni dans la contrainte, mais dans le cœur de chaque individu tourné librement vers son prochain. C’est à travers l’effort personnel de chacun pour incarner la bonté et l’amour que l’humanité peut progresser. Car le Bien ne dépend pas de croyances religieuses ou idéologiques, mais de l’amour vivant.